Doit-on pratiquer la médidation et comment ?
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Doit-on pratiquer la médidation et comment ?
De : obivatel38 (Message d'origine) Envoyé : 03/03/2005 08:12
La méditation semble être un bon outil de développement de la conscience de soi
comment la pratiquer sous l'angle de l'enseignement de G ?
La méditation semble être un bon outil de développement de la conscience de soi
comment la pratiquer sous l'angle de l'enseignement de G ?
Dernière édition par Admin le Lun 10 Nov - 4:14, édité 1 fois
De : _____Thierry_____ Envoyé : 03/03/2005 20:20
Reponse de MR BR,
Attention, la meditation, la vrai, est un risque incommensurable.
C'est l'emotionnel qui submerge toutes les autres composantes de son etre.
Nous n'avons pas d'exemples ou cette pratique n'ait pas conduit a de graves dereglements et meme, dans les cas les plus graves a la folie.
Ne pratiquez rien dans ce sens ; il n'y a pas de retour pour ceux qui n'y sont pas guides des les premisses.
Attention aux fausses jouissances : c'est un suicide.
Il n'y a pas a pratiquer la medidation sous l'angle de l'enseignement de MR G.
Mr G. vous conduit a devenir conscient en vous faisant "connaitre" (non pas "savoir"), de quoi vous etes fait et comment "ça" marche.
Il vous amene a l'harmonie par la 4ieme voie.
MR BR
Salutations.
Thierrydu23
Attention, la meditation, la vrai, est un risque incommensurable.
C'est l'emotionnel qui submerge toutes les autres composantes de son etre.
Nous n'avons pas d'exemples ou cette pratique n'ait pas conduit a de graves dereglements et meme, dans les cas les plus graves a la folie.
Ne pratiquez rien dans ce sens ; il n'y a pas de retour pour ceux qui n'y sont pas guides des les premisses.
Attention aux fausses jouissances : c'est un suicide.
Il n'y a pas a pratiquer la medidation sous l'angle de l'enseignement de MR G.
Mr G. vous conduit a devenir conscient en vous faisant "connaitre" (non pas "savoir"), de quoi vous etes fait et comment "ça" marche.
Il vous amene a l'harmonie par la 4ieme voie.
MR BR
Salutations.
Thierrydu23
De : Paul-du-76 Envoyé : 12/11/2006 00:26
Bonjour,
Suite de mon petit tour sur le forum. Je ne vois là que des conseils judicieux. Mais de quoi donc est-il question à la fin du chapitre "De la connaissance du vrai devoir êtrique" ?
Bien à vous
PH
Suite de mon petit tour sur le forum. Je ne vois là que des conseils judicieux. Mais de quoi donc est-il question à la fin du chapitre "De la connaissance du vrai devoir êtrique" ?
Bien à vous
PH
De : _Regbar_ Envoyé : 12/11/2006 14:00
Bonjour Paul,
Je pense qu'il s'agit du rappel de soi, à la fin de ce chapitre.
Garde à la lecture, cependant. Voir le topic intitulé Réaliser les partkdolgdevoirs êtriques.
Les Récits de Belzébuth sont une description de ce qui se passe chez l'homme ; une façon d'expliquer, une dénonciation, mais aucunement à faire.
Apres avoir effectué différents travaux sur soi, l'homme peut relire les Récits de Belzébuth à son Petit-fils, car il pourra connaitre après sa lecture si il est resté un homme ordinaire que dénonce Gurdjieff ou bien, si il a travaille sur soi et atteint l'équilibre de l'etre/étrique.
Cordialement.
Je pense qu'il s'agit du rappel de soi, à la fin de ce chapitre.
Garde à la lecture, cependant. Voir le topic intitulé Réaliser les partkdolgdevoirs êtriques.
Les Récits de Belzébuth sont une description de ce qui se passe chez l'homme ; une façon d'expliquer, une dénonciation, mais aucunement à faire.
Apres avoir effectué différents travaux sur soi, l'homme peut relire les Récits de Belzébuth à son Petit-fils, car il pourra connaitre après sa lecture si il est resté un homme ordinaire que dénonce Gurdjieff ou bien, si il a travaille sur soi et atteint l'équilibre de l'etre/étrique.
Cordialement.
De : Paul-du-76 Envoyé : 13/11/2006 23:29
Bonjour,
Il n’est pas facile de s’attaquer au "monument" que sont les Récits. Pour que la tentative porte ses fruits, il faut "plonger" dans le texte et simultanément en soi-même. Merci de votre réponse mais votre post comporte une contradiction. Vous dites : " Les Récits de Belzébuth sont une description de ce qui se passe chez l'homme ; une façon d'expliquer, une dénonciation, mais aucunement à faire" Je suppose que vous avez employé "faire" dans le sens ordinaire et donc on peut le remplacer par "tenter". Or, vous parlez au début, du "rappel de soi" qui lui est à tenter. Vous admettez donc avoir trouvé dans les Récits, une indication pratique pour votre Travail. puisque, et je pense que nous en serons d’accord, l’état de conscience de soi n’est pas "constatable" chez l’homme que décrit Belzébuth.
Mais qu’il s’agisse ou non d’une description du rappel de soi, cela reste encore à être expérimenté. Dans ce sens, si je peux me permettre un conseil, relisez bien ce chapitre : ce qui est proposé à Hassin est ".....d’établir chaque jour, au lever du soleil...." ce qui serait bien réducteur, quand nous savons vous et moi, la quantité de tentatives nécessaires, pour nous approcher d’une sensation plus "juste".
Se mettre le pied à l’étrier pour l’étude d’un texte d’une telle "ampleur" demande une intention, un Do. Si vous persistez, nul doute que vous découvrirez, non pas un recueil de paraboles (comme je l’ai lu quelque part sur le forum – analogie oui, parabole certainement pas) mais une aide insoupçonnée
Désolé pour la déviation du sujet (méditation) vers Belzébuth, mais dans notre Travail tout est lié
A suivre
Cordialement
PH
Il n’est pas facile de s’attaquer au "monument" que sont les Récits. Pour que la tentative porte ses fruits, il faut "plonger" dans le texte et simultanément en soi-même. Merci de votre réponse mais votre post comporte une contradiction. Vous dites : " Les Récits de Belzébuth sont une description de ce qui se passe chez l'homme ; une façon d'expliquer, une dénonciation, mais aucunement à faire" Je suppose que vous avez employé "faire" dans le sens ordinaire et donc on peut le remplacer par "tenter". Or, vous parlez au début, du "rappel de soi" qui lui est à tenter. Vous admettez donc avoir trouvé dans les Récits, une indication pratique pour votre Travail. puisque, et je pense que nous en serons d’accord, l’état de conscience de soi n’est pas "constatable" chez l’homme que décrit Belzébuth.
Mais qu’il s’agisse ou non d’une description du rappel de soi, cela reste encore à être expérimenté. Dans ce sens, si je peux me permettre un conseil, relisez bien ce chapitre : ce qui est proposé à Hassin est ".....d’établir chaque jour, au lever du soleil...." ce qui serait bien réducteur, quand nous savons vous et moi, la quantité de tentatives nécessaires, pour nous approcher d’une sensation plus "juste".
Se mettre le pied à l’étrier pour l’étude d’un texte d’une telle "ampleur" demande une intention, un Do. Si vous persistez, nul doute que vous découvrirez, non pas un recueil de paraboles (comme je l’ai lu quelque part sur le forum – analogie oui, parabole certainement pas) mais une aide insoupçonnée
Désolé pour la déviation du sujet (méditation) vers Belzébuth, mais dans notre Travail tout est lié
A suivre
Cordialement
PH
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