Suite des écrits de Bernard RUAUD, le 31-01-2009

Philo
L'intelligence de l'homme est d'avoir crée une intelligence superieure a la sienne.
C'est, à la base, le fruit de la division du travail.
C'est a dire de partager puis de demultiplier les capacités de chacun

Philo
La culture collective est légitimée comme "naturelle" lorsque l'organisation de solidarité entre les hommes
dévie la sélection naturelle, (individuelle dans la nature) par la responsabilité collective de survie,
sans diminuer l'équilibre en nombre.
C'est rare les civilisations évoluées. 26-10-01

Qu'est-ce que l'homme ?
Un Dieu qui court apres son ombre croyant que c'est sa réalité 30-4-99

La démocratie c'est le systeme de libres contraintes obligatoires

L'hypocrisie sexuelle est le seule moyen pratique de conserver sa liberté naturelle de pratiquer selon son gout et ses besoins.26-4-99

La "prévision" doit devenir l'essence de l'Economie.

Vivre c'est esperer.
Esperer c'est attendre.
Vivre, c'est attendre.
(certains pensent que vivre c'est jouir immediatement) 18-1-2000

Plus jamais de dictature du proletariat!
(Russie sovietique)
Vive la dictature du secretariat!
(USA) 20-5-99

Philo
Pour les hommes :
Quel type d'organisation de la Societe ?
Cela dépend :
la vraie question :
"Dieu ou la jouissance", c'est le monothesime
"Dieu et la jouissance", c'est le Paganisme au sens noble
"Ni Dieu ni Jouissance", c'est l'ideologie de gauche (civilisation industrielle) 21-05-99

Le principe de la bombe atomique est d'une simplicité desarmante 8-6-99

La Republique Morale (religieuse..)
Les pauvres sont assistés
Mais
sans tabac, sans alcool, sans vices...! 7-6-99

Vous avez le droit (de ne plus etre libre)
Ah! Le mot droit emporte mon choix! 5-6-99

La culture n'est qu'humaine.
Ses fausses valeurs sont destinées à éloigne l'homme des effets tres dures de la Nature
(en partie par l'insconscience).
Lorsque les effets de la Culture deviennent pires que ceusx de la Nature brute, il faut changer de Valeurs
4-6-99

Les femmes qui "désirent" abaisser les hommes sont toujours les ratées de la jouissance.