Reflexion sur les autres un soir de ville.

De : _____Thierry_____ (Message d'origine) Envoyé : 03/09/2008 20:48
Reflexion sur les autres un soir de ville.

Reflexion sur les autres un soir de ville.
Je vois des choses du passe et qui me ressemble et qui se repete inlassablement sans verite ni presence.
Je peux presque tout prevoir a ce qui va lui arriver a celui que je croise ou a l'autre qui s'engouffre dans un commerce plus
loin, ainsi la conscience permet de vivre consciemment l'inconscience des autres.
C'est un spectable tres prenant mais chaque piece du tableau est connu car cette piece s'est joue tant et tant de fois en
moi-meme qui a sans arret corrige ce que je mettais la pour m'empecher de le voir puis de progresser.
Il est pas etonnant que certains meme insconscient s'ennui a vivre et que d'autre encore plus insconscient s'ennui a se le
cacher et a se fondre dans la masse..
On ne peut s'empecher d'aimer ceux qui encore loin de vous meme ont tant de mal a y venir car leur souffrance on la connait
tres bien, et meme plus encore sa duree. Il est enfin possible d'aimer quelque chose chez ces humains.
Je vis cela avec la tranquilite car si peu se passe, si peu est differend, si peu cree l'accident, si peu s'eveille.
Pourtant il y a bruits, chahuts, petards et haussemetn de ton ici et la. Comme si on avait enferme des pantins dans une boite
a chaussure qui n'aimerait pas l'odeur de la semelle.
Alors la question c'est que fais je ici ? Car je n'ai pas encore la reponse.
La reponse n'ai donne qu'a la fin car le travailleur du reel contente peut se reposer trop puis ne plus avoir le temps de
tout faire ou meme de poursuivre.
Mais demandez moi ce qu'ils font je le vois et comprends il participe a la vie comme ils peuvents et certains le font tres
bien.
Alors je me leverai de mon banc pour croiser des pantins et je m'amuserai a imiter leur jeux pour moins les faire souffrir et
mieux les comprendre afin de mieux les aimer.
Ainsi le travail sur soi continu a preservant cet etat de voir par le developpement d'un amour d'une sincerite inebranlable
pour ceux qui souffre encore pour rien, d'autres qui souffrent encore pour quelque chose et d'autres comme moi, qui souffre
presque plus pour rien ici bas.
thierry