L'au-dela et ce que j'en perçois. Probabilités.
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L'au-dela et ce que j'en perçois. Probabilités.
L’au-delà et ce que j’en perçois. Probabilités.
Il est très probable que ce qui vit ailleurs que sur terre dépende entièrement d’un autre type de matérialité.
La matérialité terrestre, elle-même d’ailleurs, n’est pas visible à l’œil nu. En effet une table plate en bois n’est pas ce que l’on voit, c’est en quelque sorte une combinaison d’atomes et d’électrons gravitant autour, qui, subissant eux-mêmes différentes lois, créent par leurs changements de direction, différents types d’énergies (ou de formes ?) A leur tour ces différents types d’énergies créent des formes que l’être humain ne perçoit qu’avec ses 5 sens.
Il est ainsi selon ce que je sens très probable, que l’au-delà obéisse à une matérialité qui dépend cette fois-ci non pas des lois de la terre (96), mais surtout de l’état des êtres qu’elle accueille sur plusieurs plans, par rapport à la hauteur de leur vibration. Ainsi ceux qui sont davantage (plus proches de l’absolu) atteindraient un type de matérialité propre dans l’au-delà.
La souffrance qu’un être humain ressent à sa mort (et pendant un certain temps après), est probablement due au fait, qu’il ait à quitter un autre état de matérialité (sans rapport avec son type/niveau/vibration d’être).
Cette matérialité obéit à beaucoup de lois et à la complexité sur terre qui maintient l’humain en son état. Le corps humain devrait donc perdre une partie de son énergie d’être pour se libérer à sa mort des lois de la terre, qui par leur sophistication, contraignent le corps humain (partie de l’être à abandonner) à une fonction.
Ainsi en mourant il serait bien difficile d’abandonner ce qui est encore soumis à la fonction que nous occupons tous sur terre sans y laisser des plumes, c’est-à-dire une partie vraie de son être, plus exactement le corps terrien.
Il apparaîtrait ainsi que la vie sur terre puisse créer et régir des formes de façon accidentelle. Car ici le vivant ne pouvant être complètement libre d’être selon ses propres vibrations, elles-mêmes modifiées en partie par celles de la terre (cause à effet, etc…).
La fonction du vivant serait exprimée en lois terriennes et ce qui en est visible ou compréhensible, par son assujettissement.
Le changement de forme (fleur, animal, pierre) serait ainsi accidentel ou alors, accepté par l’être qui a décidé d’être en dépendant le moins possible de la terre (les pierres, etc…)
Je pense qu’il est réellement difficile d’être une pierre. Elle possède par ses efforts me semble-t-il, toutes les caractéristiques de la désobéissance à la terre : immobilité, permanence d’état et de forme, indépendante du chaud et du froid (des cinq sens ?), durée de vie… etc ;
Il serait intéressant de considérer que l’au-delà est construit plus justement, de mondes qui absorbent un vivant directement du fait de son état d’être, plutôt que comme la terre, qui le soumettrait d’abord à un certain type de fonctions, donc à une forme etc…
Ce qui reviendrait à soumettre un être à « exister » selon des formes à peine visibles, donc à l’inconscient.
A long terme cet être pourrait risquer de rester inconscient (soumis aux formes et aux lois terrestres) et donc y perdre une partie partielle ou totale de son essence.
Degré à partir duquel l’être ne pourrait plus retourner en arrière, il serait alors, dans le pire des cas, « dispersé » pour servir d’autres êtres dans le travail, plus influencés par eux-mêmes (ce qu’ils sont) que par la terre.
L’inconscient serait-il seulement une vie imagée qui perdrait son véritable artiste, pour s’abandonner par paresse aux formes et aux couleurs terriennes ?
Suite…
Il est très probable que ce qui vit ailleurs que sur terre dépende entièrement d’un autre type de matérialité.
La matérialité terrestre, elle-même d’ailleurs, n’est pas visible à l’œil nu. En effet une table plate en bois n’est pas ce que l’on voit, c’est en quelque sorte une combinaison d’atomes et d’électrons gravitant autour, qui, subissant eux-mêmes différentes lois, créent par leurs changements de direction, différents types d’énergies (ou de formes ?) A leur tour ces différents types d’énergies créent des formes que l’être humain ne perçoit qu’avec ses 5 sens.
Il est ainsi selon ce que je sens très probable, que l’au-delà obéisse à une matérialité qui dépend cette fois-ci non pas des lois de la terre (96), mais surtout de l’état des êtres qu’elle accueille sur plusieurs plans, par rapport à la hauteur de leur vibration. Ainsi ceux qui sont davantage (plus proches de l’absolu) atteindraient un type de matérialité propre dans l’au-delà.
La souffrance qu’un être humain ressent à sa mort (et pendant un certain temps après), est probablement due au fait, qu’il ait à quitter un autre état de matérialité (sans rapport avec son type/niveau/vibration d’être).
Cette matérialité obéit à beaucoup de lois et à la complexité sur terre qui maintient l’humain en son état. Le corps humain devrait donc perdre une partie de son énergie d’être pour se libérer à sa mort des lois de la terre, qui par leur sophistication, contraignent le corps humain (partie de l’être à abandonner) à une fonction.
Ainsi en mourant il serait bien difficile d’abandonner ce qui est encore soumis à la fonction que nous occupons tous sur terre sans y laisser des plumes, c’est-à-dire une partie vraie de son être, plus exactement le corps terrien.
Il apparaîtrait ainsi que la vie sur terre puisse créer et régir des formes de façon accidentelle. Car ici le vivant ne pouvant être complètement libre d’être selon ses propres vibrations, elles-mêmes modifiées en partie par celles de la terre (cause à effet, etc…).
La fonction du vivant serait exprimée en lois terriennes et ce qui en est visible ou compréhensible, par son assujettissement.
Le changement de forme (fleur, animal, pierre) serait ainsi accidentel ou alors, accepté par l’être qui a décidé d’être en dépendant le moins possible de la terre (les pierres, etc…)
Je pense qu’il est réellement difficile d’être une pierre. Elle possède par ses efforts me semble-t-il, toutes les caractéristiques de la désobéissance à la terre : immobilité, permanence d’état et de forme, indépendante du chaud et du froid (des cinq sens ?), durée de vie… etc ;
Il serait intéressant de considérer que l’au-delà est construit plus justement, de mondes qui absorbent un vivant directement du fait de son état d’être, plutôt que comme la terre, qui le soumettrait d’abord à un certain type de fonctions, donc à une forme etc…
Ce qui reviendrait à soumettre un être à « exister » selon des formes à peine visibles, donc à l’inconscient.
A long terme cet être pourrait risquer de rester inconscient (soumis aux formes et aux lois terrestres) et donc y perdre une partie partielle ou totale de son essence.
Degré à partir duquel l’être ne pourrait plus retourner en arrière, il serait alors, dans le pire des cas, « dispersé » pour servir d’autres êtres dans le travail, plus influencés par eux-mêmes (ce qu’ils sont) que par la terre.
L’inconscient serait-il seulement une vie imagée qui perdrait son véritable artiste, pour s’abandonner par paresse aux formes et aux couleurs terriennes ?
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