Trop de démocratie tue la démocratie.
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Trop de démocratie tue la démocratie.
Avec l'accumulation des croyances et valeurs dans une culture qui décline, l'on comprendra mieux (suite à la lecture de mon message sur les apparences et croyances), que la fuite de la responsabilité individuelle est davantage stimulée (car nous sommes devenues le peuple, nous, penseurs collectifs qui ne pensons qu'en collectif), et qu'elle fasse fuir les gens de la gouvernance d'eux-mêmes pour la confier aux politiques qui "vous" comprennent, "vous" gouvernent.
(vous c'est qui ?)
Le peuple préfère que d'autres gouvernent par peur du risque d'être responsable.
"C'est la faute de la société "c'est tellement plus facile de ne désigner personne, en se rassurant qu'au moins ce n'est pas soi qui est responsable.
Et au moins c'est une excuse qui peut émaner des électeurs comme des élus sans designer personne.
Si vous comprenez cela, donc, le fonctionnement du bas peuple, vous deviendrez politicien et aurez à charge de le convaincre, du risque qu'il court, si vous lui redonnez le pouvoir et la responsabilité qui va avec tant, le poste que vous occupez est lourd de tâches et de risques, que vous êtes d'ailleurs prêt a courir, par amour pour lui et la nation, et pour qu'ils vous reélisent..
Et si il ne se tient pas tranquille vous serez même prêt a abandonner le pouvoir sur le champ et à lui envoyer la force publique pour "le" protéger de lui-même et des autres (la peur), et si il pli l'échine, lui promettre un mieux aller (espoir).
Mais hélas, le bas peuple dans sa faiblesse de rendre responsables les autres, verse naturellement dans le collectivisme, donc dans l'idéologie.
Et cette idéologie collectiviste peut vous renverser, vous là-haut, a la cour.
Donc il faut flatter son idéologie en agissant comme lui, en accusant aussi de votre côté, ceux qui ont été élus avant vous et ceux qui reviendraient peut-être après....
Au final vous élus, avec ce jeu de "je prends la responsabilité mais j'ai peur d'être responsable car je risque de ne plus être élue ou de ne plus être soutenu par mon parti ", et par souci de ressembler au peuple (lui plaire), vous versez aussi dans le "on" indéfini et le collectivisme.
Ainsi vous vous ficelez peu a peu, de toute tentative de gouverner par vous-même en agissant quand cela est nécessaire, avec ou sans l'avis du peuple, mais pour un bien collectif plus hautement placé.
Si les gouvernants ressemblent au peuple alors qui gouverne ?
Si les gouvernants se laissent gouverner par le peuple et que lui-même se laisse gouverner par des gouvernants qui ne gouvernent plus, qui gouverne ?
Dès lors, que plus personne n'est responsable (élus et autres) comment voulez-vous qu"un état se construise à travers la récompense au plus méritant (qu'il devrait placer a la tête de l'état) et de la sanction du fautif (ceux qui n'en feront plus jamais partie).
L'élitisme dans ce climat idéoligue a peu de temps à vivre....
Plus d'élite ...et on en arrive a une dérive de déresponsabilisation collective et de l'affaiblissement de ce que l'on tient ou obtient ou devrions garder par effort.
Et quand on ne tient plus a rien, le pays ne peut plus tenir tout seul.
(vous c'est qui ?)
Le peuple préfère que d'autres gouvernent par peur du risque d'être responsable.
"C'est la faute de la société "c'est tellement plus facile de ne désigner personne, en se rassurant qu'au moins ce n'est pas soi qui est responsable.
Et au moins c'est une excuse qui peut émaner des électeurs comme des élus sans designer personne.
Si vous comprenez cela, donc, le fonctionnement du bas peuple, vous deviendrez politicien et aurez à charge de le convaincre, du risque qu'il court, si vous lui redonnez le pouvoir et la responsabilité qui va avec tant, le poste que vous occupez est lourd de tâches et de risques, que vous êtes d'ailleurs prêt a courir, par amour pour lui et la nation, et pour qu'ils vous reélisent..
Et si il ne se tient pas tranquille vous serez même prêt a abandonner le pouvoir sur le champ et à lui envoyer la force publique pour "le" protéger de lui-même et des autres (la peur), et si il pli l'échine, lui promettre un mieux aller (espoir).
Mais hélas, le bas peuple dans sa faiblesse de rendre responsables les autres, verse naturellement dans le collectivisme, donc dans l'idéologie.
Et cette idéologie collectiviste peut vous renverser, vous là-haut, a la cour.
Donc il faut flatter son idéologie en agissant comme lui, en accusant aussi de votre côté, ceux qui ont été élus avant vous et ceux qui reviendraient peut-être après....
Au final vous élus, avec ce jeu de "je prends la responsabilité mais j'ai peur d'être responsable car je risque de ne plus être élue ou de ne plus être soutenu par mon parti ", et par souci de ressembler au peuple (lui plaire), vous versez aussi dans le "on" indéfini et le collectivisme.
Ainsi vous vous ficelez peu a peu, de toute tentative de gouverner par vous-même en agissant quand cela est nécessaire, avec ou sans l'avis du peuple, mais pour un bien collectif plus hautement placé.
Si les gouvernants ressemblent au peuple alors qui gouverne ?
Si les gouvernants se laissent gouverner par le peuple et que lui-même se laisse gouverner par des gouvernants qui ne gouvernent plus, qui gouverne ?
Dès lors, que plus personne n'est responsable (élus et autres) comment voulez-vous qu"un état se construise à travers la récompense au plus méritant (qu'il devrait placer a la tête de l'état) et de la sanction du fautif (ceux qui n'en feront plus jamais partie).
L'élitisme dans ce climat idéoligue a peu de temps à vivre....
Plus d'élite ...et on en arrive a une dérive de déresponsabilisation collective et de l'affaiblissement de ce que l'on tient ou obtient ou devrions garder par effort.
Et quand on ne tient plus a rien, le pays ne peut plus tenir tout seul.
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